Oyez Oyez moussaillons!
Voici l’un des ports les plus riches en commerçant et achalandage. Celui si est toujours plein de nouveau gens venant vendre ou acheter diverses babioles. Cet endroit est l’un de mes préférés pour commettre divers petits actes qui me valent le titre de pirate. C’est l’un des principaux ports d’attache de ceux qui veulent se rendre sur terre. Personnellement, moi je préfère l’ambiance foraine de la place du marché. Habituellement, c’est dans ce genre d’endroit qu’on peut trouver un vaisseau ainsi qu’un capitaine capable de vous amener n’importe ou, si vous y mettez le prix. On raconte que même certain serai assez névrosé pour se rendre jusqu’au bout de la terre, la ou il n’y a que néant et vide. En apparence générale, voici le port de Faralon tel que je m’en souviens :
D’une étendu peu modeste, pouvant accueillir plus d’une cinquantaine de navire. Les ports d’encrage sont assez grand pour la majorité des véhicules marins, mais les plus gigantesques peuvent aller plus loin jeter l’encre. Déjà, un contracteur demande un certain montant pour laisser son bateau dans le port. Pour ma part, quelques petites menaces m’en débarrassent à chaque fois. Fait de pierre et de bois, il est très solide, contrairement au port délabré ou j’accoste en grande majorité. Tout y est propre, on dirai que les gouverneurs de cet endroit ont une sale obsession par le nettoyage. Quoi qu’on n’en dise autant pour ma part, au nombre de corvée de pont que j’ai donné à certains membres de mon équipage. C’est la que de vieux capitaine se rencontre après des mois ou des années en mer. On voit des accolades, ou bien des coups de poing, tout dépend de la relation qu’ils entretiennent entre eux. En essayant de se frayer un chemin parmis ses hommes emplis de bonne volonté, on peut arriver directement a la place du marché. Endroit intéressant pour ravitailler les calles, lorsqu’on part en mer pour une durée indéterminée. Même avant d’être rendu à l’endroit dite plus haut, des honnêtes, et j’appuis ce mots, des honnêtes marchants recherchent déjà à vous vendre qui on l’air aussi fonctionnel que peuvent l’être leur esprit. Pourtant, bien des marins, qui n’ont pas vu la terre depuis longtemps, se laisse prendre au moindre mensonge de ses langues de serpent. Personnellement, je ne me suis jamais fais avoir, enfin presque…
Mais voila ce que je me souviens de cet endroit intéressant, je ne suis pas un poète pour vous en rendre l’exactitude de l’ambiance de l’endroit, ainsi que ses structures, mais je crois vous en avoir dépeint l’essentiel. Je dois dire qu’avec une vie pleine d’acte de piraterie, je ne m’attendais pas à voir ce charmant port dans un endroit aussi déplorable.
Des coques de navire, délibérément éventré. Sur les flots, devenu d’une couleur vermeille, flotte des corps sans vie, en état avancer de liquéfaction. On dirai que cela fais longtemps qu’ils marinent dans ce jus infecte. Des morceaux de bois et des tonneaux par centaine naviguent en solitaire dans l’eau du port décomposé. Des drapeaux de navires marchants et autres, déchirés et tachés de sang, volent lentement au gré du vent le long des mats engouffré. J’eux de la difficulté à amener mon navire près des lieux d’encrage. Le spectacle qui s’offrit à moi était apocalyptique. Les planches du port, autrefois d’une propreté irréprochable, est maintenant tapisser de corps et de sang. Une bonne quantité sont fendue et il faut faire attention de ne pas tombé dans les trous occasionnés. Je marchais avec quelques membres de mon équipage dans ce royaume tout droit sortit d’un cauchemar. Seul la mort semblait ramper dans les profondeurs de cette ville en perdition. Je me frotta pensivement le menton.
‘’Pourtant…je n'y suis pour rien?’’