L'ancien Palais

L’extérieur :

Construit au temps jadis, où lumière et ciel bleu naissaient encore chaque matin à l’este pour mourir à l’ouest, deux statues imposantes marque l’entrée de ce chemin. Orion et Delena, le seigneur et sa dame de temps glorieux.

Légèrement surélevée, la battisse est construite au centre même de la citée, imposantes malgré ses murs blancs défraîchis, autour de l’endroit s’élève les plus vieilles pierres de tous Faralon, un léger mure de quatre mètres protége une cours quasiment inexistante.

Pointer vers les cieux comme un défi lancer aux dieux, a chaque coins du palais pentagonal s’élève une tour, trois d’entre elle on leur chapiteau écroulé… Ce lieu est à l’image des hommes, grandeur et décadence des mortelles, fierté ou ego surdimensionné, nulle ne saurait trancher.

Seul le bruit du vent semble percer le silence de cet endroit au combien actif autrefois… Les guetteurs, si guetteurs il y a, sont invisibles… Passé le portail des légères fortifications le minuscule court intérieur laisse une drôle d’impression. Peuplée de quelques arbres à l’écorce plus blanche que les plumes des colombes, cet endroit semblent attendre éternellement une venue tant le temps n’a pas eu emprise sur son aspect.

Pourtant, encore quelques un, parmi ceux qui autrefois marché au coté des grands defunts de ce monde, l’on se souvient… L’on se souvient du temps ou tous faralon aurait pu faire un pied de né a l’ensemble des autres royaume.

Mais les temps on changer, les mélancolie et le regret de ce temps prenne les plus vieux des hommes, un souvenir qui semble si lointain…

Flattant l’encolure de sa monture, c’est devant des portes pourries par les années et entouré d’un silence mortuaire que notre chevalier mais pieds a terre…

*Où son donc passé milice et soldats des temps oublié ? Ou son donc passé les chants a la gloire de nos rois oubliés ? Ou son passé les cors de faralon ?... Le temps aurait-il lassé et effacer toute les traces de ce passé ?*

Posant sa main sur le butoirs de la porte d’entrée du palais, de cinq coups qui se répercutére milles fois dans des mures vide de vie, Alpha annonçât son arrivée a un palais qui semblait inabité.

Le hall d’entrée et la grande salle:

Un long corridor sombre et décoré de quelques tentures et tapisserie s’étant a perte de vue… Parsemé de portes donnant sur des dortoirs et des salles de gardes, le couloir débouche sur une grande salle… La salle du trône, là ou autrefois fut donné les plus conseils et sellé les plus grandes alliances d’hommes jamais créer…

Au milieu de cette salle une grande table en pierre rectangulaire s’étend a n’en plus finir en direction d’un grand fauteuil, lui aussi de pierre froide… Un fauteuil qui semble vide. Au dessus s’étend un immense étendard, déchirer par les années, autrefois était là le symbole des hommes.

L’on finit par ouvrir cette porte à Alpha, un homme en armure et aux regards visiblement plein d’inquiétude parait dans l’entre bâillement et le fait entrer dans le long corridor. Visiblement l’homme semble plus désemparé et altéré qu’Alpha lui-même. Le chevalier décide enfin à s’annoncer…

« Je me nomme Alpha ! Fils de la dame heleana, descendant de la dynastie d’Anarion, porteur de l’épée Astria ! Milicien je te somme de me conduire emediatement auprès du roi de Faralon ! Le temps presse, l’ennemie est bientôt là ! »

L’homme baissa la tête, le visage presque en larme de honte ou de déshonneur, sortant de dessous sa cape un objet, il le présentât à Alpha. La corne… La corne d’or de Faralon, seul le roi ou les hauts dirigeants de faralon était permis de porter pareille présent… Comment cette chose pouvait se trouver entre les mains de ce milicien ?

« Notre monarque est parti… Il y a de cela une semaine, emportant avec lui cents hommes que nous avons tirés au sort… Ils sont partis par les sous-sols… Quand le rois ma confié cela j’ai alors compris… Compris que la fin est proche !... »

Alpha n’en croyais pas ses oreilles ni ses yeux, le désespoir le prit en un éclaire… Mais le nuage fut vite chassé et remplacé par une vive colère, le lâche ! Les mécréants, ils avaient fuit !

« Combien d’hommes restent-il ? Combien !?! Et ou sont-ils, pourquoi n’avez-vous rien fait ? »
« Huit cents cinquante hommes mon seigneur… Ils sont probablement aux caves… Il reste quantité d’alcool et… Et… Il n’y a plus d’espoir… »

Fulminant de rage Alpha attrapât l’homme, qui ne semblais tout a fait sobre, par son encolure et lui criat bien fort :

« Ma parole ! Qu’avez-vous dit là ? Sortez moi immédiatement ces gens de ces caves, la bataille n’est pas encore terminée ! Activez vous bon sens ! Vous êtes tous devenu fous ou quoi ? »

On ne su trop si l’homme s’exécutât par peur ou parce qu’il n’avait pas retrouvé tous ses esprits suite a ses abus de boissons mais il descendit en direction des caves.

Les caves :

Une porte au fond de la grande salle donne dans ce lieu légèrement en contrebas, une large pièce de dix mètres sur six , parsemé de tonneaux et autres conteneurs de boissons et victuailles.

Alpha contemplât la grande salle, l’endroit aurait pu accueillir toute une population… L’endroit qui était le centre même et la fierté d’un passé glorieux allait-il devenir le dernier bastion des hommes ? Oui, cela ne faisait aucun doute, moins fous que de les envoyer dans le désert ou dans les souterrains, ces lieux auraient pu accueillir toute la population dans le dernier combat.

Soudainement des hommes armés en nombre assez conséquent remontée de la cave et d’autres descendirent des étages… La plupart ivre et chantant des chansons à boire, pendant que leurs frères d’arme encore sobre tentaient de les faire tairent…

Alpha leur jetât un regard plein de réprobation.

« Ainsi donc voilà le fleurons des hommes ? De faralon ? Pendant que paysans et marchands s’affairent a renforcer notre défense et sont prêt a mourir, vous ! Oui vous, vous qui avaient était désigné autrefois avec honneur pour défendre ce monde, vous, vous buvez à en vous en rompre la panse !

J’ai honte ! J’ai honte de vous, j’ai honte de nous… Regardez vous, vous êtes plus faible que des enfants sortant des bras de leur mère ! Regardez vous bon sens ! »

Les paroles du chevalier semblèrent avoir de l’impacte sur certains de ces hommes, surtout sur ceux qui parvenaient à tenir debout tous seuls…

« Par l’étoile du soir, il n’est pas trop tard ! Secouez vous bon sens ! Pour ceux qui me comprennent prenez les armes ! Mourrons comme des hommes et non comme des couards ! Aux armes soldats aux armes !!! »

Certains réagirent, des sauts d’eau froide furent amenés… Petit a petit la milice semblais reprendre conscience et une apparence plus humaine que celle des éponges… Alpha prit la corne de faralon et la plaçât sous un verre en haut d’une mini colonne prévue a cette effet…

Dans son esprit elle devra rester là jusqu'à la venue qu’attendaient ces lieux… Le nouveau roi de faralon, si se ne sont point des décombres que ce roi se verra gouverner.

« Toi viens ! Tu va porter un message au brave Victor et à la mercenaire Nastasia Blackrose… tu leur diras ceci : Ne comptez plus sur le roi mes amis, lui et une poignet d’homme on fuit comme des lâches avant la bataille…

Le palais semble assez grands pour accueillir plus de gens que faralon en compte, et il semble plus solide que n’importe lesquelles des battisses de faralon ! Venez m’y rejoindre…

Va et dépêche toi, le temps nous est compté !»

Il demandât a un autre garde de le mener à la grand bibliothèque, celle ou toute les archives du royaumes et les plans de la citée ainsi que ses souterrains figuraient…

La grande bibliothèque

En prenant l’escalier à gauche de trône de la grande salle un long serpentin de marches de pierre en colimaçons s’offre à vos pieds.

Il mène aux salles de la grande bibliothèque, dans l’une des tours encore habitable et non en ruine du palais. Une lourde porte de bois en garde l’entrée, a peine ouverte une odeurs de vieillie et de poussière envahi vos sens olfactifs. Vos yeux son émerveillés devant le nombre d’ouvrage et de parchemins qui envahissent des étagères s’élevant a plus de quatre mètre de hauts.

Carte, anciennes dynasties, ouvrages languistique, tous y est, de la création de faralon à… A ce jour faste.

Remerciant l’homme qui lui avait montré le chemin jusqu'à ce lieu Alpha ne perdis pas une seul minute. S’emparant d’un veille escalier coulissant permettant d’atteindre les recueille au placé, il emplies ses bras de plusieurs livres.

Redescendant à la hâte il dégageât brutalement une table de lecture de se qui était posé dessus, repentants ces choses sur le sol. Posant violemment un des ouvrages accompagné d’un nuage de poussière, l’ont pouvaient lire sur celui-ci « Cartographie de Faralon et de ses sous-sols ».

Là à la lumière d’une vielle lampe a huile il étudiât longuement chaque plans…

« Ainsi donc ces sous terrains ont trois sortie qui débouche ici, là et là.

Dit-il en se parlant à lui-même en montrant plusieurs points de la carte de Faralon, l’une des indications était une ruelle de la place du marché, la deuxième était a l’opposé de l’auberge du bon repos… Enfin la dernière se trouvait prêt de l’entrée principale de Faralon…

«L’entré principale ? Bon sens ! Quelle folie ont eu les êtres qui ont creusé sous la citée pareille aberration a la défense… Il faudrait… Il faudrait les condamner… C’est une décision pointilleuse… cela ne nous laisserait aucune possibilité de fuite pour les innocents, et aucune aide envisageable…

Mais sa arrêterais l’ennemie provisoirement… choix compliqué ! Et avec quoi les condamner ? De toute façon qui nous viendrait en aide par ici ? A moin qu’il n’y aille encore des mercenaire la dessous…

Quoi qu’il en soit ce palais au moi n’est pas troué comme le reste de la citée… Je maintien qu’il faut amener nos gens ici, se sera notre dernier poste de repli…»

Puis Alpha se mordit la langue… A qui parlait-il puisqu’il n’y avait personne ? A lui-même… Oui c’était sans doute cela, en cet instant il avait l’impression de se sentir seul, cruellement seul… Il repensât a sa famille, ou plutôt a ceux qu’il avais considéré comme-t-elle…

Très peu de souvenir, des choses confuses oubliées, ces images de massacres, le don de son père « adoptif »… Cette épée… Qui était-il vraiment ? Et pourquoi son enfance lui était si floue ? C’était comme si son enfance avait était la route, la route et encore la route…

Dans un sursaut sur un coup de tonnerre il s’éveillât de ce songe troublé, pourquoi le destin n’avait-il pas fait de lui un simple homme, quelqu’un sans misions compliqué, quelqu’un capable de regarder mourir son prochain en remerciant le ciel que se ne soit point lui… Pourquoi ?

Alpha laisser sonoriser un rire moqueur… Sans doute n’aurait-il jamais ses réponses, sans doute… L’heure n’était plus aux questions… Sombre jours, sombre vie… Un cœur blanc mélée a une âme grise… Dans un monde noire… Un soupire sorti de sa bouche, son seul regret face à la mort sera de ne point avoir eu de descendance ni de femme à aimer.

Il se replongeât dans les plans de la ville et de ses alentours…

[Composé par Alpha du temps de l’Âge des Ténèbres]

A présent, suite a l’occupations et a la défaite humaine, le palais est aussi abandonner qu’il le fut a l’époque. Il sommeil et attend que la couronne revienne a celui dont la destiner l’aura élut pour délivré Faralon de son maléfice.