La renaissance :
‘’…Une chute…interminable…le froid me prennent au entrailles…la lame déchirant ma chair blafarde. Le sang maculant mes cheveux…mon visage. Qui suis-je…ou suis-je ? Le froid mordant…la noirceur de l’être…le bourreau. La vie…ma vie…s’effritant…s’écoulant de ma plaie béante. Une chute…interminable…vers la fin de quoi ? De ma vie ? De mon espoir ? De mon courage ? Vers une fin inévitable…qu’y a t’il après cette chute…atteindrai-je un jour le sol, fracassant mes os, ma chair. Qui suis-je…que suis-je…pourquoi…pourquoi…pourquoi…’’
Une clairière…verdoyante. Malgré les ténèbres qui obscurcissaient le ciel depuis trop longtemps, on pouvait trouver encore la sérénité dans un lieu comme celui si. La paix…la douce paix tant méritée. Au beau milieu de cet endroit féerique se trouvais un petit corps enveloppé d’un linceul blanc…immaculé. Ses cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaule fragile. Son teint blafard, presque cadavérique, rehaussait la couleur de ses yeux. Grand ouvert, d’un vert lime…il tournait frénétiquement. Comme prise de convulsion. Tout son corps se mit rapidement a suivre…puis s’arrêta doucement. Ses yeux virai au blanc…sans pupille. Puis, elle leva sa main dans les airs…comme pour toucher quelque chose que la femme était la seule a voir. Puis, ses lèvres, d’une couleur rosée…se mirent a bouger pour dire quelques paroles qui moururent, porté par le vent doux.
« Veldrin…pour Faralon…espoir… »
Puis son bras retomba, le long de son corps. Le linceul couvrait la partit inférieur de son corps…sa poitrine…ses épaule…dénudé. Puis…plus rien. Ses yeux restait ouvert, comme spectatrice impuissante d’un spectacle apocalyptique. Puis…au bout d’un moment…au moment précis ou…loin…sur un autre plan…un chevalier venait de tombé sur les coups d’un être assoiffé de sang…la lame du saint guerrier tombé sur le champ de bataille. La femme cria, un cri puissant qui se répercutait dans la forêt. Son corps fut prit de convulsion plus violente, et elle cracha un flot de sang…tachant la peau de sa poitrine de se liquide vital. Puis, son thorax se mit a monté et descendre a rythme régulier. L’air emplissais ses poumons, elle semblais reprendre vie. Clignant des yeux, elle leva sa tête sur le liquide sanglant qui la tachaient. Prenant peur, comme un animal, il se leva a toute vitesse, restant a quatre pattes. Regardant de ses yeux revenu vert autour d’elle. Le seul ‘’vêtement’’ qu’elle portait était maintenant par terre…elle nue comme au jour de sa naissance. Une lueur animale dans les yeux, elle regardait autour d’elle frénétiquement, comme si la revenante s’attendais a être attaque par quelque ennemi bien caché dans la végétation.
Au bout d’un moment, le dos arquer comme prêtre a bondir, la femme se prit la tête a deux mains. Un violent mal de crâne venait l’assaillir avec une force phénoménale. Se couchant en boule sur le lit de feuille morte, elle marmonnait des paroles incompressibles. Prit dans un malstrom de souvenir et de souffrance, son petit corps tremblais. Un second flot de sang s’écoula de sa bouche. Ses mains se reformant comme des serres, ses ongles entrant dans sa paume…saignant doucement. Elle ouvrit la bouche pour hurler sa souffrance…mais il mourut sur ses lèvres…Soudain, comme elle était arrivé, tout devin silence. La femme se leva du sol, regardant son corps nue, tacher de sang. Puis, elle regarda autour d’elle. Une image lui vint en tête, un palais…appartenant a un ami a elle…peut-être ? Est-ce réel ? Ou était t’elle…pire…qui était t’elle ?…
Marchant sur un sentier…elle déambulés sans but. N’avant même pas penser a se vêtir, ses penser était si embrouiller. Au bout du sentir, se tenais un grand arbre mort. La femme s’y assit…collant sa tête contre le bois. Malgré elle…elle se mit a le caressé. Elle sentit un doux battement sous l’écorce…sous les mains celle si….l’écorce commençais a reprendre vie. Sous ses doigts…la sève commençait a couler a nouveau dans l’arbre. Fasciner, elle contempla le spectacle avec un mélange de peur et d’allégresse. L’arbre avait retrouvé sa force…sa vigueur sous son écorce. Un faible sourire se forma sur les lèvres rosées de celle-ci. Emplit de se sentiment…quelle resentait pour la première fois…enfin…c’est se quelle croyais. Son corps semblait plus léger…elle regarda vers ses pieds et vit quelle ne touchait plus le sol. Prise de peur, la revenante s’écrasa sur le sol. Fixant l’arbre…ce vieu arbre rabougrit qui semblais se peigner d’un visage. L’arbre se mit soudaine a parler d’une voix étouffé, vieille comme le monde
« Mon enfant…tu semble perdu ? »
La femme se regarda et rougit. Puis, dit d’une voix craintive, mais heureuse d’entendre le son de sa voix
« Ou…ou suis-je ? »
Le visage dans l’écorce lui sourit et dit doucement
« Tu te trouve a Alkar, dans la forêt des anciens, Arinae »
Sursautant a l’évocation de se nom…elle fouilla dans sa tête. Ce nom…ce nom…ce nom. Mais ou étais t’elle entendu se nom…Un souvenir lui revint en tête violemment. Un homme a l’âme noir…comme ce ciel qui empêche la lumière de baigner sa peau blafarde. Il avait apposé ses lèvres contre les siennes…lui disant qu’elle comprendrai son geste…qu’il ne combattait pas les faibles. Puis…la chute. Qui était t’il ? Pourquoi il l’avait appeler Arinae…qui était t’elle ? Les souvenirs l’essayaient. Puis, prit d’une pulsion soudaine, elle se mit a courir pour revenir sur ses pas. Oubliant la l’arbre étrange qu’elle avais réveiller. Les blanches fouettait son doux visage, lui occasionnant quelque coupure, mais elle en avais cure. Elle courrai sans s’arrêté…jusqu'à retrouvé la clairière. La…elle vit le linceul blanc sur le sol…ainsi que quelque chose qu’elle n’avais pas vue auparavant. Sur la pierre ou elle c’était réveiller était poser une épée. Sans penser a rien, elle la prit dans ses mains. S’étonnant de la légèreté, Arinae vit la lame briller dans sa main. Surprise, elle lit les écritures dans une langue étrange qu’elle put déchiffré dans peine. Il était écrit
« Arinae, déesse protectrice de la vie »
Lâchant la lame, comme s’il était brûlant, elle se mit les mains sur la tête et se mit a pleuré. Pleuré pour quoi…elle ne le savait pas non plus. Les gouttes d’eau ruisselaient le long de sa joue. Puis…un picotement se fit sentir au milieu de se ventre…approchant fébrilement sa main…elle toucha une grosse cicatrice…comme si…comme si…une épée lui avais transpercé le corps. Elle se laissa tombé sur le sol…complètement perdu…Arinae…Arinae…Arinae répétait son cœur. Pour la troisième fois…un épais flot de sang rougeâtre coula de sa bouche. Sa main cherchant a tâtons l’épée quelle placa sur elle. Ses deux mains sur le pommeau, l’absence de chaleur du fer l’aidais a penser…
Plusieur heure plus tard…la femme se releva, c’étant fait une ‘’toge’’ avec le linceul, Arinae marcha dans la forêt pour retrouvé l’arbre enchanté. Le regard droit, malgré les faibles blessure que son corps était couvert a cause des branches, elle marchais maintenant avec une fougue insoupçonné. Elle ne tarda pas a retrouvé l’arbre étrange. Le visage dans le bois était figé dans un expression de tristesse. Alors, Arinae parla d’une voix douce…mais contenant cette fois plus de vivacité
« Savez vous qui je suis…cette lame me prêtant Déesse de la vie…mais je ne m’en souviens pas…je me souviens par contre d’avoir sauvez une divinité du nom de Roy Corey…puis être devenue sa meilleure amie…puis…la guerre…un seigneur froid et ténébreux voulant conquérir le monde. »
Elle se figea…des brides de plus en plus forte du combat contre la divinité du mal lui revint comme un coup de marteau sur ses tempes. Essayant de prendre sur elle la douleur. Puis, poussant un discret soupir, la déesse reprit
« Mais…je fut vaincu…vaincu par la lame du ténébreux adversaire…et me voici…comment…pourquoi…qu’était-je avant ? Une…céleste…c’est tout se que je me rappelle… »
L’arbre ne bougea pas…mais ouvra une grande porte sur le coté en verdure. La femme hésita…puis mit pied dans la porte. Ses cheveux blond cascadant sur ses épaules…couverte d’un linge blanc…une épée a la main…elle oubliais presque la douleur qui lui striais les tempes. Puis, le visage dans l’arbre lui dit
« Je vais te montré, suis moi, nous allons te faire comprendre… »
Un signe d’incompréhension dans le visage de la ‘’déesse de la vie’’ d’après se qu’on lui avais dit…d’après les signes. Elle hasarda a dire quelque chose
« Nous ? … »
Puis la porte disparut…elle se sentit transporté dans les airs…un doux sentiment de bien être l’emplit. Puis…elle vit…sa destinée...